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Bonjour à tous, Nous avons beaucoup de sollicitation concernant la fabrication de bac à compost. En effet cet objet qui permet de cloisonner les déchets en phase de dégradation est fort esthétique et bien adapté aux personnes ayant de petits espaces privés. J‘attire cependant votre attention sur le fait que faire un tas est bien plus simple… mais bon.
1. Récupérer 5 palettes
Le plus simple pour faire un bac à compost est d’utiliser des palettes. C’est vrai que certaines ne sont pas très belles, d’où l’intérêt de bien les sélectionner. Privilégier des palettes non traitées qui sont reconnaissables par leur aspect naturelle (pas peint!) et qu’elles ne disposent pas des « sigles » HT pour Haute Température.
Cinq palettes font l’affaire, encore faut-il qu’elles aient la même taille !
2. Les assembler
Pour se faire le plus simple est un marteau et des clous. C‘est accessible à tous, de manière extrêmement simple. Le protocole consiste à fixer les 4 palettes entre elles pour former un cube creux en bas et en haut.
3. Transformer le capot
Troisième étape. Il faut retirer les pieds de la dernière palette et boucher le plus possible les trous.
Ce permet à l’eau de plus de ne pas trop humidifier le compost, ni au soleil estivale de « taper » dessus. En effet le compost à besoin d’un environnement « moite » : ni trop, ni trop peu.
PS: Le capot n’est pas obligatoire du tout.
4. Installer le bac
Après tout ce travail, la fin approche quand se pose la question du positionnement du bac. L’idée est de le mettre près des arbres : ça permet de limiter ensoleillement, la pluie et « l’érosion » du bac à compost. Intelligemment, on le mettra en retrait, sans pour autant le mettre tout au fond du jardin (suivant la taille). La raison est simple : s’il est trop loin, on n’ira pas.
Le but du jeu est de composter, ne l’oublions pas ! D’ailleurs le bac n’est qu’un prétexte, car l’homme a très souvent fait de simples « tas » et ça à toujours marché.