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Jouisseur solitaire de tous les pays, rassurez vous ! Il n’est désormais plus nécessaire de cacher ses restes de masturbation au fond de la poubelle d’ordure ménagère (en enfonçant bien le mouchoir avec la main au risque de se souiller de restes nauséabonds), il n’y a plus de risque de boucher les toilettes en essayant désespérément de faire partir la masse flottant au fond de la cuvette, il n’y a même plus besoin de frotter ses draps souillés par une tâche indélébile pour la cacher de ses parents.
Désormais, sachez que tous les restes de masturbation se compostent !
Que vous jouissiez sur un mouchoir en papier, un tissu en coton, un papier essuie tout ou même un article de journal ou de magazine, il vous est tout à fait possible d’isoler le papier souillé pour le jeter directement au compost !
Se masturber dans la bonne matière.
Bien sûr, certains préfèreront les matières textiles (chaussettes, draps, couvertures). Pas de panique, cela passe facilement à la machine à laver.
Pour les adeptes de matières lubrifiantes, surveillez tout de même les composantes de vos lubrifiants. A priori si elles sont adaptées à la peau humaine, elles peuvent tout à fait se composter (un lubrifiant pour voiture, par contre, sera considéré comme polluant et donc non compostable).
Si vous avez peur de gâter votre compost, préférez l’utilisation d’huile d’olive. Parfait lubrifiant, il donner à votre peau une douceur inespérée.
Le compostage, le destin rêvé pour une semence humaine libérée!
Si le sperme se composte, même intégré à une matière transformée par l’homme comme les mouchoirs ou magazine (même si je ne conseille pas le contact entre l’encre des magasine et votre pénis), il est cependant inutile de chercher à composter les préservatifs. Ceux ci sont en majorité fait de matières synthétiques et ne feront que vous dégouter du compost (et dégouter les autres !).
Avis aux scientifiques, lancez vous sur une thèse sur des préservatifs compostables, cela pourrait vous rapporter gros !